
Il n’est pas illégitime ni blasphématoire de se demander si le continent du berceau de l’humanité n’est pas maudit.
Avec ce énième coup d’État au Burkina, il ne nous reste que les yeux pour pleurer mais cela nous savons le faire et surtout bien le faire.
Il serait salutaire que le Très-Haut accepte nos prières et exauce nos vœux que nous avons largement revus à la baisse.
Maintenant l'Homme Africain n'attend du Maitre de l'Univers qu’un petit sursis, qu’un petit répit. La cadence rapide des mauvaises nouvelles par rapport à la bonne nouvelle risque de détourner le plus croyant d’entre nous.
La jeunesse africaine n’a pas encore fini de célébrer sa belle victoire au championnat du monde d’athlétisme de Beijing. Eh oui, pour une fois le « drapeau Afrique » via le drapeau kényan flotte sur le toit du monde, cela justifie bien quelques pas de danse de Kemboi et de son Premier ministre. Voilà que gilbert diendéré: un petit con, c'est le qualificatif le plus gentil que j'ai pour lui, nous ramène à notre sort d’« homme maudit ».
Comme si Ebola, les criminels de Boko Haram, les assassins et violeurs Aqmi du Sahel, les centaines de cadavres qui jonchent la Méditerranéenne ne suffisaient pas.
Il est criminel d'appeler la jeunesse du Burkuna à la résistance. Elle a déjà joué sa partition en chassant Compaoré. C'est aux intellectuels, tous les intellectuels et à aux politiques, tous les politiques, et à eux seuls, de ramener l'ordre institutionnel. Ce n'est un secret pour personne que le cerveau de ce coup d’État est parmi eux.
Les aventuriers, les officiers d’opérette de Brazzaville, Libreville Kigali, Kinshasa et Nouakchott ont les yeux braqués sur vous. Allez les hommes intègres, ne leur donnez aucun espoir. L’espérance et la démocratie de l’Afrique sont entre vos mains. Debout !
Qu'Allah vous assiste.
Libérez les bienfaiteurs des esclaves : Brahim et Birama.
Salam,
Oumar Débé
Avec ce énième coup d’État au Burkina, il ne nous reste que les yeux pour pleurer mais cela nous savons le faire et surtout bien le faire.
Il serait salutaire que le Très-Haut accepte nos prières et exauce nos vœux que nous avons largement revus à la baisse.
Maintenant l'Homme Africain n'attend du Maitre de l'Univers qu’un petit sursis, qu’un petit répit. La cadence rapide des mauvaises nouvelles par rapport à la bonne nouvelle risque de détourner le plus croyant d’entre nous.
La jeunesse africaine n’a pas encore fini de célébrer sa belle victoire au championnat du monde d’athlétisme de Beijing. Eh oui, pour une fois le « drapeau Afrique » via le drapeau kényan flotte sur le toit du monde, cela justifie bien quelques pas de danse de Kemboi et de son Premier ministre. Voilà que gilbert diendéré: un petit con, c'est le qualificatif le plus gentil que j'ai pour lui, nous ramène à notre sort d’« homme maudit ».
Comme si Ebola, les criminels de Boko Haram, les assassins et violeurs Aqmi du Sahel, les centaines de cadavres qui jonchent la Méditerranéenne ne suffisaient pas.
Il est criminel d'appeler la jeunesse du Burkuna à la résistance. Elle a déjà joué sa partition en chassant Compaoré. C'est aux intellectuels, tous les intellectuels et à aux politiques, tous les politiques, et à eux seuls, de ramener l'ordre institutionnel. Ce n'est un secret pour personne que le cerveau de ce coup d’État est parmi eux.
Les aventuriers, les officiers d’opérette de Brazzaville, Libreville Kigali, Kinshasa et Nouakchott ont les yeux braqués sur vous. Allez les hommes intègres, ne leur donnez aucun espoir. L’espérance et la démocratie de l’Afrique sont entre vos mains. Debout !
Qu'Allah vous assiste.
Libérez les bienfaiteurs des esclaves : Brahim et Birama.
Salam,
Oumar Débé